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La Santé ne doit plus être un coût ni être soumise au pouvoir économique

Inscription du principe de Sécurité Sociale dans la Constitution.

Réaffirmation des principes de qualité des soins, de solidarité et d’égalité d’accès aux soins.

Fusion des différents régimes de Sécurité Sociale (y compris les actifs de l’agriculture, les travailleurs indépendants et les fonctionnaires). Fin de la SSI (Sécurité Sociale des Indépendants).

Augmentation progressive de la part des soins et des médicaments pris en charge par la Sécurité Sociale, pour tendre vers une prise en charge à 100%. L’accroissement de la couverture universelle via la Sécurité Sociale réduira la pertinence des mutuelles. L’objectif est de les rendre de moins en moins nécessaires et donc de réduire leur prix.

Tiers-payant généralisé.

Révision des barèmes de remboursement. Entrées et sorties du répertoire Sécurité Sociale. Moratoire sur le déremboursement des médicaments et renégociation des prix avec les Pharma.

Révision totale des AMM (Autorisation de Mise sur le Marché) de tous les médicaments. Certains réputés inutiles, d’autres non distribués malgré leur efficience.

Prise en charge par la Sécurité sociale d’une part des consultations de psychologues.

Habilitation des médecines douces et alternatives, de l’ostéopathie, dans le cadre de la Sécurité Sociale.

Habilitation de l’homéopathie comme branche de la médecine à part entière.

Reconnaissance par la Sécurité Sociale de toutes les maladies et pathologies reconnues par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) (ex : Fibromyalgie, SEP, maladie de Lyme, pathologies rhumatismales, etc.)

Extinction de toute conditionnalité de couverture sociale (sécurité sociale et mutuelle) pour enfanter.

Eradication des maquis administratifs tels celui des administrations dédiées au handicap (voir chapitre Politique de Santé Publique) ou bien celui de l’éducation nationale ou des aides à l’emploi.