Fiscalité incitative et répressive (pollueur-payeur).

Les recettes issues de toute mesure fiscale afférente à l’environnement sont fléchés vers des lignes budgétaires servant l’écologie et le mieux-disant environnemental (a contrario de la taxe carbone, point de départ du mouvement des Gilets Jaunes en 2018, taxe dont les sommes étaient orientées à 80 % vers d’autres budgets à usage non-environnemental).

Taxe malus sur les activités polluantes des entreprises avec dégression du malus à l’atteinte des objectifs fixés par expertise. La TGAP (Taxe Générale sur les Activités Polluantes) appliquée aux déchets, émissions polluantes, lubrifiants, lessives et matériaux d'extraction doit à nouveau s’étendre aux installations classées SEVESO.

Taxation du tout plastique en présence d’une alternative viable.

Sortie de la France du « marché carbone » qui permet aux industriels de négocier et spéculer sur des droits à polluer.