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La médecine du travail peut être le siège de la politique d’une prévention élargie et agissante du fait que tout salarié est dans l’obligation réglementaire de se rendre à la visite de médecine du travail. Hausse de la fréquence des visites réglementaires - passées de 2 à 3 ans sous Macron - : période pressentie : tous les ans.

Indépendance absolue des médecins du travail par rapport aux entreprises.

Politique de mixité des compétences des Médecins du Travail qui sont invités sans obligation à ouvrir leur propre cabinet tout en assurant leur charge au sein de la médecine du travail. Et à l’inverse, invite aux médecins de ville à prendre charge de consultation au sein de la médecine du travail.

Ouverture d’un canal d’échange entre le médecin traitant et le médecin du travail dans le respect dans la confidentialité dont le médecin traitant est détenteur prioritaire.

Plan de sensibilisation aux RPS (Risques Psycho-Sociaux) et reconnaissance comme causes de maladies professionnelles.

Réactivation des CHSCT en lieu et place des CSSCT (voir Droit du travail et des Représentations Salariales).

Les médecins du travail alimentent en données médicales un Carnet de Pénibilité et de Risques Cumulatif attribué à chaque salarié lors de son premier emploi. Ce Carnet est la base d’évaluation de la pénibilité subie par le salarié en vue de sa valorisation lors de son départ à la retraite ou d’un litige avec un employeur et/ou une assurance. Il est communiqué à titre de suivi médical au médecin traitant.

Pas de journée de carence en cas d’arrêt maladie. ‟ Quand on est malade, on est malade ”.

Fusion du congé de maternité et du congé de paternité en un congé de naissance unique pour le couple d’une durée de 16 semaines, avec préavis d’un mois.