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Conditions Générales d'Utilisation

 

Politique Sociale

Fin

Prise en charge pour tout RDV médical (spécialiste, médecin traitant), paramédical (kiné, ergothérapeute, orthophoniste, etc.…) et déplacement vers les centres spécialisés (enfants et adultes) des transports VSL / AMBULANCE.

Création d’une plaquette d’informations sur les droits et les aides auxquels peuvent prétendre les personnes en invalidité. Aujourd’hui trop peu de personnes savent quels sont leurs droits et donc ne font pas les demandes.

Eradication du maquis administratif imposé aux personnes handicapées. (voir chapitre Politique de Santé Publique)

Des écarts de salaires régulés

Limitation de l’écart des salaires de 1 à 20 au sein d’une même entreprise, avec indexation des salaires sur la base du plus haut salaire. Un Smic à 1300 €/mois conduit à un salaire maximal de 26 000€/mois. A charge du patron de relever les salaires minimums - avec glissement des grilles intermédiaires - pour s’augmenter lui-même.

Interdiction (par taxation à 100%) des parachutes dorés et des retraites chapeau. Les stock-options participent de l’intéressement des dirigeants mais sont limitées par voie réglementaire.

Précarité et Chômage

Abrogation du Décret n° 2018-1335 du 28 décembre 2018 de la ‟Loi sur la liberté de choisir son avenir professionnel" concernant le chômage.

Abrogation des lois « Macron » et « El Khomri ».

Droit au chômage aux salariés démissionnaires, dans la limite d’une fois tous les trois ans, et sans autre condition.

Droit au chômage aux auto-entrepreneurs et aux chefs d’entreprise PME/TPE.

Prolongation et réévaluation de l’allocation chômage en échange d’un travail d’utilité publique.

Défalcation de la somme équivalente à la moitié de l’allocation chômage sur les charges patronales du nouvel employeur pendant 2 ans pour tout contrat d’embauche en CDI.

Refonte totale des déclinaisons du travail précaire sous toutes ses formes : stagiaire, apprenti, pigiste, CDD, intermittent, salarié uberisé… jusqu’à l’auto-entrepreneur, en vue de création d’un statut, de droits, d’un code d’embauche et de revalorisation. Ex : Limitation du nombre de CDD dans les entreprises par l’instauration d’un quota maximum variable selon le chiffre d’affaire et les secteurs d’activité. En première intention : 10% de précaires maximum dans les PME, 5% dans les grandes entreprises.

Pour ces populations, prime de précarité égale à 20 % de la somme des salaires bruts cumulés durant le contrat.

Les plateformes multidisciplinaires (offres de services tout-en-un sous franchise) ou les plateformes numériques (type Uber) sont commuées en coopératives de travailleurs dont les statuts sont à définir. (voir chapitre Droit du Travail et Représentation Salariale)

Abrogation de la directive sur les travailleurs détachés (qui relèvent actuellement des droits du pays d’origine et non des dispositions françaises introduisant une distorsion d’équité sur le marché du travail).

Conventionnement (salaires encadrés) des emplois non qualifiés ou à basse qualification afin de combattre la surexploitation des populations exposées au chantage à l’emploi (immigrés) et la concurrence à la baisse sur le marché de l’emploi.

Instauration d’un droit de préemption des salariés en cas de fermeture ou de vente de leur entreprise pour former une coopérative. Ce droit de préemption est conforté par une somme versée par les caisses de chômage correspondant au "chômage évité" (estimation de la somme à chiffrer selon des critères à définir). Les caisses de chômage constituent ainsi une partie de l’apport des salariés pour concrétiser la procédure de reprise.

Interdiction des licenciements boursiers, et interdiction de versements de dividendes dans les entreprises ayant recours à des licenciements économiques.

Fin de la suspicion a priori de "fraude" à l’allocation chômage.

Gratuité des transports en commun pour les chômeurs afin de faciliter leur recherche d’emploi