La France doit retrouver la position qu’elle avait adoptée lors des Trente Glorieuses. Une position de pays non-aligné.

A l’époque, cette terminologie recouvrait la neutralité entre les Etats-Unis et l’Union Soviétique. Aujourd’hui, la neutralité signifie la mise en œuvre d’une politique pragmatique et ouverte autant vers les Etats-Unis, la Russie et la Chine mais aussi l’ouverture élargie de relations avec les pays arabes, l’Inde et l’Amérique du sud.

Ce qui implique la sortie de l’OTAN.

Elle doit œuvrer pour une politique d’équilibre des puissances.

Promotion de la Concorde Européenne

Opposition à l’extraterritorialité du droit américain. Cette opposition doit être aussi portée dans le cadre de l’ONU.

Elle doit renouer (ressusciter) les amitiés historiques avec Israël et le Liban.

Raviver nos alliances maghrébines traditionnelles, notamment avec le Maroc.

Rupture avec les alignements diplomatiques de la France sur le Qatar et l’Arabie saoudite fondés uniquement sur des intérêts financiers hors de toute autre orientation stratégique. Les relations internationales doivent être inspirées par de réelles intentions collaboratives nourries par une recherche de concorde mutuelle.

L’UE, démantelée sous sa forme actuelle, la France se positionne aux côtés de l’Espagne et de l’Italie, ainsi que la Grèce, pour instaurer avec les pays du Maghreb un arc économique méditerranéen fort.

Restauration des liens franco-anglais.

Action prioritaire de la France dans le cadre de la diplomatie maritime pour le respect du droit international de la mer.

Audit des emprises françaises à l’étranger (Ambassades, Consulats, Maisons de la France, Alliances Françaises, …) et requalification de leurs missions vers une politique d’influence culturelle et commerciale. L’influence commerciale doit non seulement s’enquérir des intérêts des grandes entreprises françaises mais aussi (et surtout) de ceux des PME/TPE, des exportateurs dans les domaines agricoles, viticoles et artisanaux.