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Renationalisation de la Banque de France.

Attribution du pouvoir de création monétaire à la Banque de France.

Edification d’une économie dirigée sur le modèle en vigueur de 1945 à 1973.

Création d’un Commissariat au Plan.

Financement de l’État et du peuple par impression monétaire.

Nationalisation des 4 principales banques françaises.

Séparation des banques de dépôt et des banques d'affaires.

Annulation des dettes indues.

Instauration d’une micro-taxe (de type Taxe Tobin) sur les transactions boursières de façon unilatérale.

Seule la réappropriation de notre souveraineté monétaire peut nous permettre d’échapper au piège frauduleux de l’Ordre Mondial Financier ultralibéral.


Implications

Quel que soit le tour que prendront les événements, il est impératif de mettre en place un Plan monétaire préventif, définissant et élaborant les modalités techniques d’un retour à une monnaie nationale, applicable en cas d’éclatement de la Zone Euro, afin de protéger les Français des conséquences négatives de ce processus de désarrimage.

Cela implique la sortie de l’UE (et non du Conseil de l'Europe), du FMI et de l’OTAN ainsi qu’une politique de traités commerciaux unilatéraux et un objectif d’autosuffisance commerciale et stratégique.

Conséquences

Dépréciation de 20 à 30 % de la valeur de la monnaie nationale.

Cette dépréciation, équivalente à une dévaluation (exportations françaises plus compétitives et importations moins compétitives) relancera la croissance.

Contrairement aux idées reçues de la propagande, il n’y aura pas 10 % de baisse du pouvoir d’achat, car cela supposerait que tous les produits consommés soient importés. Il n’y a en réalité qu’environ 30 % de produits importés, ce qui signifie que la hausse des prix serait au maximum de 3 %. Dans un marché très concurrentiel, la hausse est en réalité encore moindre. On n’a d’ailleurs pas vu les prix augmenter significativement quand l’euro s’est déprécié de 18,5 %, avec à la mi 2014, 1 € = 1,30 $ et au début de mars 2017, 1 € = 1,06 $. (citation du programme de l’UPR)

La dévaluation de fait subie par ‟ l’Euro Franc ” permettra de rembourser officiellement et facialement la somme due, mais avec une valeur réelle réduite, ce qui diminue à proportion la partie de la dette non répudiée.

Marché intérieur plus naturellement protectionniste pour cause de la hausse des prix des produits importés.

Hausse du tourisme.

Boum des productions agricoles et agroalimentaires.

Relocalisation des productions industrielles.

 

Effondrement des valeurs boursières françaises (second marché – valeurs virtuelles) avec perspectives de nationalisations ou redistributions par rachats d’actions d’entreprises à bas prix.