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Il n’existe pas d’énergie propre hormis l’économie d’énergie.

 

Production d’énergie et Nucléaire

Développement des énergies dites renouvelables tel l’hydrogène, la biomasse, l’énergie marémotrice, le solaire...

Création d’une filière de production française de panneaux solaires.

Moratoire sur les éoliennes terrestres en vue de l’interdiction du développement de cette filière.

Moyens accrus pour la recherche sur le stockage de l’électricité produite par les énergies renouvelables, principal obstacle à leur généralisation, en vue d’en augmenter la part dans le mix énergétique.

Fermeture des centrales nucléaires vieillissantes ou situées en zones à risques sismiques et mise en conformité du parc nucléaire avec les normes de sécurité actuelles. Relance et finalisation (et contrôle) du chantier de l’EPR de Flamanville et/ou reprise du projet Astrid.

Déploiement d’une politique de sécurité nucléaire bien plus importante que celle menée par l’ASN (Autorité de sûreté nucléaire). Mise en œuvre de protections contre les risques aériens type 11 sept 2001, et protection accrue autour des transferts de matières radioactives, notamment des transferts routiers.

Intégrer en CDI les « forçats » du nucléaire. Pérenniser et valoriser la filière des métiers de maintenance en milieu nucléaire.

Distribution et disponibilité de cachets d’iode à toute la population.

Fermeture des dernières centrales à charbon.

Développement de la recherche autour de la valorisation énergétique des déchets (Biomasse).

Développement de la recherche sur le nucléaire (combustibles à faible durée de vie) et de la recherche sur les surgénérateurs stoppée par Macron.

Autonomie et libération des productions d’énergies locales avec accès fournisseur au réseau national.

Abolition de la loi NOME (Nouvelle Organisation du Marché de l'Electricité) de Décembre 2010 et barrage à tout projet qui, sous couvert de libéralisme, de concurrence libre et non faussée, tendrait à affaiblir les grands acteurs nationaux du secteur (projet Hercule).

 

Carburants

Suppression des subventions aux énergies fossiles (filière pétrole).

Taxe sur le fuel de fret maritime et sur le kérosène pour les avions.

Suppression du projet de loi visant à interdire le gasoil non routier « fioul rouge » (pour les agriculteurs).

Mise sur le marché de biocarburants, mais annulation du projet de loi du biocarburant à l’huile de palme. Cofinancement de projets visant à concevoir des biocarburants respectueux de l’environnement.

 

Transports

Favoriser le transport de marchandises par ferroutage et restauration des petites lignes ferroviaires. Priorisation de l’accessibilité des territoires face au développement des lignes à grande vitesse. Développer les autoroutes ferroviaires (Camions et voitures).

Redéploiement des subventions publiques accordées aux compagnies de transport en car low-cost vers l'entretien du réseau ferroviaire et/ou réorientation des réseaux car low-cost sur la desserte des territoires oubliés.

Fixation d’un tarif unique abordable sur les trajets en train, calculé selon la distance et le temps de trajet, afin d’éviter les variations de prix incompréhensibles pour les usagers.

Développement des transports en commun qui, en toute circonstance, sont moins polluants et coûtent moins cher que la voiture individuelle.

Transport Routier : Application d’une taxe d’utilisation du réseau routier national via une vignette aux transporteurs étrangers en transit.

Véhicules : Programme d’aides au remplacement ou à l’amélioration des véhicules polluants au prorata des revenus des foyers.

Transport Fluvial : Favoriser le transport fluvial et finaliser les projets de canaux en souffrance et identifiés comme bénéfiques. (ex : Canal Seine-Nord).

Audit sur la portée des programmes financés par l’ADEME, notamment dans le cadre du projet "véhicule du futur" et du Programme d'Investissements d'Avenir (PIA).

Soutien à l’industrie de la voiture électrique à stockage batterie et à stockage hydrogène qui, tout arguments croisés et en l’état des connaissances et informations accumulées, restent les solutions les plus bas carbone et optimales pour le climat.

Abrogation des dispositions prospectives de la "Loi d'Orientation des Mobilités" (LOM), où il est envisagé d'interdire la vente de voitures essence et diesel en 2040 pour lutter contre le réchauffement climatique. Les mutations technologiques, sociétales et d’usage n’ont pas à faire l’objet de contraintes et/ou de répression. La mutation du parc automobile français vers la voiture électrique doit se faire par le consentement et l’adhésion de citoyens adultes et responsables, et non en les menaçant du bâton ou en les infantilisant. L’interdiction est exclue ; l’incitation est admissible.

Aménagement généralisé de pistes cyclables ouvertes aux trottinettes et autres stepway.

Mise en place d’une taxe écologique sur les produits importés, au prorata de la pollution engendrée par leur transport.

 

Habitat

Grand plan d’isolation des logements en conformité avec les normes thermiques en vigueur, dans un souci d’économie d’énergie et de développement durable.

Equipement des toits d’immeubles de technologies solaires (ex : tuiles solaires) ou éoliennes pour la consommation en électricité et en eau chaude. Des coopératives en énergie sont créées avec capacité de redistribution des excédents d’électricité.

Mise aux normes thermiques de tous les logements gérés par des organismes publics.

Développement d’une production électrique autonome ou renouvelable pour tous les bâtiments publics construits ou rénovés. Architecture zéro carbone.

Éclairage public solaire.

Rétablissements et stabilisation des politiques de crédits d’impôt sur les habitats pour la transition écologique.